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The Bunny Game (2011) (Cover B, Limited Edition, Mediabook, Blu-ray + DVD)

German · Blu-ray + DVD

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Description

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Auf der Strasse ist Sylvia Gray unter dem Namen "Bunny" bekannt. Sie liebt Kokain und jeden Mann, der sie für schöne Stunden bezahlt. Sie durchstreift die Strassen von Los Angeles auf der Suche nach ihrem nächsten Freier und ihrer nächsten Mahlzeit. Nachdem sie eines Nachts von einem Freier vergewaltigt und ausgeraubt wurde trifft sie den harmlos wirkenden Trucker JR.

Doch JR ist alles andere als harmlos. Er betäubt Sylvia, schleppt sie in einen entlegenen Teil der Wüste und setzt sie dort einer Reihe unerträglicher Qualen aus, die er allesamt mit seiner Kamera dokumentiert. Als Sylvia am nächsten Tag wieder erwacht ist ihr Leiden alles andere als vorbei - JR zwingt sie dazu, sich Videos davon anzusehen, was er bereits mit anderen Frauen bereits angestellt hat.

Nach einigen Tagen ist Sylvias Kopf kahl rasiert, sie wurde wie ein Tier gebrandmarkt. Tage und Nächte haben keine Bedeutung mehr, wenn JR seinen Zwängen freien Lauf lässt und Sylvia eine unvorstellbare Reihe bizarrer Spiele mit ihrem Peiniger über sich ergehen lassen muss.

Limitiert auf 150 Stück

Product details

Director Adam Rehmeier
Actor Rodleen Getsic, Jeff Renfro, Drettie Page, Coriander Womack, Gregg Gilmore, Loki
Label Ams
 
Genre Horror
Content Blu-ray + DVD
FSK / age rating from age 18
Publication date 30.12.2021
Region code 2, B
Edition Limited Edition, Mediabook, Cover B
Original title The Bunny Game
Year of production 2011
Length 80 Minutes
Audio English (Dolby Digital 2.0), English (DTS HD Master Audio 2.0), German (Dolby Digital 2.0), German (DTS HD Master Audio 2.0)
Subtitles German
Extras Making of, Music videos, Trailer
Screen 1.77:1
 

Cast & Crew

Customer reviews

  • En effet...

    Written on 31. October 2020 by Bibo.
    This customer review refers to a alternative version.

    A la fin de ma critique, la fatigue m'a fait faire des fautes de frappes.

    Je voulais écrire : D’après ce que j’ai LU, ça serait lui Jonas… le personnage principal du prochain film, qui est une suite indirecte. Mais c’est le genre de chose qu’on ne peut pas savoir si on ne fait pas de recherche.
    Et on ne perd pas grand-chose à NE PAS voir ces films.

    En gros, je suis content d’avoir vu… mais je ne conseille à personne et je ne LE reverrai pas.

    Voilà !!!

  • On atteint encore une fois les combles du pire !

    Written on 14. September 2016 by Bibo .
    This customer review refers to a alternative version.

    Une fois de plus, j’ai visionné un film que j’ai eu beaucoup de peine à regarder, essayé désespérément de trouver des messages, du positif.

    Mais il n’y en a pas. Si on veut voir le pire de l’être humain de façon réaliste, c’est vers ce genre de film qu’il faut se tourner. Pas vers ceux qui mettent de bonne humeur, font rêver, apportent de l’espoir et arrachent des rires et sourires.

    En fait, j’ai l’impression d’avoir perdu mon temps, d’avoir atteint mon quota de film du genre et je me dis à chaque fois que je n’en verrai plus.

    Seulement voilà : on devient rapidement dépendant du porno ou de l’horreur, vu que c’est des genres de films qui produisent des sensations dont on peut rapidement devenir dépendant. Et du coup, regarder des comédies, des drames romantiques des policiers prévisibles et bourré d’actions complètement irréels… ça peut vite devenir lassant, ennuyant, pompeux.

    Ce film commence par une scène pornographique, tout comme Antéchrist.
    À noter que la Pianiste, à ne pas confondre avec LE Pianiste, en contient aussi une.
    Et tout comme pour LA Pianiste, des moments m’ont paru tellement long que j’avais envie de regarder plein de passage en avance rapide.

    Au final, je suis content d’avoir vu ce film. Mais je sais pas pourquoi !
    Est-ce parce que j’ai survécu ?
    Parce que je me sens plus fort à force d’ingurgiter des horreurs ?
    Ce qui est sûr, c’est que mon cerveau a encore pris un coup. Et qu’il va finir par se pourrir si je pense que ce genre de film est inoffensif ou sans effets secondaires néfastes.
    On ne peut pas regarder autant de violence sordide et en sortir indemne, même si on le croit, même si on rit nerveusement tout le long. Ce n’est pas mon cas, je vous rassure.
    Adam Rehmeier ne va pas être un réalisateur que je vais suivre.
    Pourtant, j’ai regardé les deux « grand » films qu’il a fait (Bunny Game et Jonas) en deux jours. Mais je vais m’arrêter là.

    Bunny Game est : crade, violent, ça ressemble à du snuff movie. On se demande si ce n’est pas réel, si c’est vraiment des acteurs. J’ai du coup repensé à 8MM.
    Je me pose aussi beaucoup de question sur la santé mentale du réalisateur, ainsi que des acteurs. Il faut avoir quelque chose d’hors du commun pour pouvoir pousser le sadisme et la souffrance aussi loin. Il faut être un acteur surhumain pour puiser dans les bas-fonds aussi sombre de son être pour en sortir quelque chose.

    Certain pensent que les créateurs de ce film devraient être enfermé ou au moins amendé. Comme quoi, ils contribuent à ce que la société aille de plus en plus mal.
    Mais mettre le doigt là où ça fait mal, n’est-ce pas contribuer ?
    Peut-être, mais à ne pas mettre entre toutes les mains, ni devant n’importe quels yeux ou âmes sensibles. Cela ne fera que les détruire encore plus. Déjà que c’est dur d’avoir de l’espoir en l’être humain...

  • Suite et fin de ma critique

    Written on 14. September 2016 by Bibo .
    This customer review refers to a alternative version.

    Si vous aimez la torture, le viol, le porno, le crime, les kidnappings… ce film est fait pour vous !

    Pour ma part, j’ai été extrêmement dérangé d’avoir été dans la peau d’un voyeur durant un film qui dure 1h15… mais qui aurait probablement bien s’il n’avait duré que 20 minutes. Car pour moi, tout est trop long. Une fellation qui dure 2 minutes, elle pisse pendant 10 minutes, elle se promène toute paumée pendant encore 5 minutes. Elle passe de clients maudits à clients malhonnêtes à client malsain. Tout est malsain dans ce film. C’est le premier adjectif qui colle à ce film.

    A vrai dire, je comprends les critiques qui disent qu’il faut être un psychopathe déranger pour pouvoir tenir ce film jusqu’au bout et ne pas décrocher au bout de trente minutes maximum.

    Dans la Liste de Schindler, on était dans un film déjà ultra-violent. C’était peut-être le premier du genre à avoir été tournée en noir et blanc.
    Puis avec the Human Centipede 2, on était déjà loin de Schindler. On entrait dans une autre sorte d’ultra violence. C’était déjà de la torture porn en noir et blanc. Les enfants de Saw et Hostel en Black’n’White.
    Et là, on est sur la même lancée.
    On croit que c’est esthétique, mais l’horreur des images détruit définitivement l’esthétisme. On est loin d’Orange Mécanique, qui était déjà insupportable, mais qui gardait cet esthétisme, même en couleur.
    À la fin du premier film, on voit un nouveau personnage de loin. On ne voit pas son visage.
    D’après ce que j’ai lui, ça serait lui Jonas… le personnage principal du prochain film, qui est une suite indirecte. Mais c’est le genre de chose qu’on ne peut pas savoir si on ne fait pas de recherche.
    Et on ne perd pas grand-chose à voir ces films.

    En gros, je suis content d’avoir vu… mais je ne conseille à personne et je ne reverrai pas.
    Je ne suivrai pas les prochains films non plus du réalisateur. Bis !
    Je ne vais même pas mettre deux étoiles, car, même si les acteurs sont excellents dans le fond, ce film regroupe tout ce qu’il y a de pire dans le cinéma indépendant. Et ça, ça peut détruire tout ce qu’il y a de bien dans ce genre à part.

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