Description
Détails du produit
Réalisateur | Jacob Chase |
Acteur | Gillian Jacobs, Azhy Robertson, John Gallagher Jr., Alana-Ashley Marques |
Label | Universal Pictures |
Genre |
Drame
Horreur Mystery |
Contenu | DVD |
Âge recommandé | à partir de 16 ans |
Date de parution | 26.08.2021 |
Code régional | 2 |
Titre original | Come Play |
Année de production | 2020 |
Durée | 96 Minutes |
Audio | Français (Dolby Digital 5.1), Anglais (Dolby Digital 5.1), Allemand (Dolby Digital 5.1), Espagnol (Dolby Digital 5.1) |
Sous-titres | Français, Anglais (pour sourds et malentendants), Allemand, Espagnol |
Format écran | 16/9, 2.39:1 |
Acteurs & équipe tournage
Commentaires des clients
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Pas trop mal !
J’avais déjà adoré Gillian Jacobs dans Visions (2015) et j’avais hâte de la revoir, mais il n’ a pas beaucoup de ses films qui m’intéressent. Je me suis dit que j’allais me lancer dans celui-ci, dans un premier temps. Je sais aussi qu’elle joue dans un des épisodes de The Twilight Zone - The Complete Series (2019), mais surtout dans la série Community.
Bien !
Que dire de ce film ?
Il est bien meilleur que les nullissimes Don't be Afraid of the Dark (2010) ou Mama (2013), tous les deux présentés par Guillermo Del Toro, comme par hasard, et qui sont tous les deux également moins bien que Mister Babadook (2014) !
Mais tous ces films sont moins bien qu’un Before I Wake (2016).
Il me semble que les films qui sont basés sur des enfants qui voient leurs peurs se réaliser sous formes de monstres ou autres créatures. Ce n’est pas ce qui manque !
Donc, forcément, on sait que si des enfants seront les principaux protagonistes, il y a certaines limites qui ne vont pas être franchies, car cela rend l'histoire plus grand public. En élargissant ces portes, on sait qu’il ne va pas y avoir de gore à profusion et que ça ne sera pas un film qui vous empêchera de dormir pendant plusieurs semaines. Oui, c'est bel et bien une petite précision pour tous ceux qui se sont reconnus dans "les personnes qui peuvent passer leur chemin" !
Encore un film qui essaye maladroitement de taper sur les écrans, mais qui les utilise pour faire son concept plus ou moins original. Une critique subliminale de la dépendance aux smartphones qui sévit. Certes, cela part toujours d’une bonne intention !
On y voit, une fois de plus : l’amour inconditionnel d’une mère pour son enfant,
la difficulté de communication entre homme et femme (en l’occurance entre le père et la mère, ici),
la pédopsy bienveillante au possible, mai qui ne croit paa au surnaturel,
la police qui arrive toujours quand les gros événements viennent de se terminer…
À noter que l'enfant est autiste et se fait malmené à l’école par ses camarades, ce qui rend l’histoire dramatique bien avant que ça ne devienne de l'épouvante.
Pour son deuxième long-métrage après "The Four-Faced Liar", Jacob Chase adapte son court-métrage "Larry" sorti en 2017. Si les adaptations peuvent parfois donner lieu à des projets sensiblement différents de l'original, ce n'est pas le cas ici puisque l'intégralité du court-métrage est reproduit dans le film. Le réalisateur s'assure donc de créer toute une histoire autour de son concept de base. Le gardien de parking est toujours là, par exemple, sauf qu'il ne s'agit plus d'un simple inconnu, mais du père de l’enfant.
En fait, je vois bien que ce long-métrage a tout fait pour être correct, mais j’ai vraiment eu de la peine à entrer dedans et à y rester croché. Je ne peux pas clamer haut et fort que c’est effrayant, époustouflant, captivant et divertissant jusqu'à la fin. C’est tiré par les cheveux, bourré d’incohérences et d’invraisemblances. Il y a des scènes assez longues, comme s’il fallait absolument atteindre la durée d’une heure et demie et surtout pas moins.
Le monstre arrive à cerner, faire peur, narguer un monsieur qui travaille dans un parking, tout en allumant toutes les voitures une à une et en jouant avec lampes, ampoules et lampadaires tout en étant invisible… par contre, il n’arrive pas à retrouver une mère et son fils caché sous un lit dans une petit chambre à coucher ? Bref ! -
Suite et fin de ma critique !!!
Le thème est fondamentalement kitsch, trop grossier, assez peu crédible pour ne pas dire, en fait, complètement débile ! Ce film ne mérite pas, pour moi, une meilleure note. En outre, de nombreuses questions restent sans réponse. Mais j'ai quand même passé un bon moment, je n’ai pas perdu mon temps comme avec la plupart de ce genre de long-métrages. Celui-ci a rempli son objectif pour ma part. Il lui manquait un peu de piment aux bons endroits. On aurait pu ajouter quelques scènes d'horreur supplémentaires, même si l'ambiance est bonne.
Les personnages sont crédibles et sympathiques et la musique de film est atmosphérique et c’st créé par l'Espagnol Roque Baños.
Le titre du film est bon aussi. «Viens jouer !» veut un peu tout dire, justement. On le comprend encore plus clairement dans les dernières secondes.
Le film est illuminé de séquences de Bob l'éponge et il y a un moment incroyable où la télé se met à parler en utilisant un mot de chaque chaîne qu’elle zappe frénétiquement. On y voit Hugh Grant, par exemple, durant ces quelques secondes.
Content de l’avoir vu une fois, mais ce film n’est ni utile, ni prioritaire.
Même si sa fin est vraiment magnifique !
Une très belle conclusion, poétique, vraiment touchante et témoignant également du très bon jeu d’acteurs du trio principal. -
Horror
Ein gut gemachter Film. Leider fehlte ihm etwas mehr Pfeffer an den Richtigen Stellen.
Die Geschichte wäre gut gewesen, doch hätte man noch ein paar Gruselszenen mehr einbauen können.
Finde den Film toll und die Atmosphäre passt. -
Nicht schlecht
Alles in allem nicht schlecht, wenn auch nicht umwerfend. Das Beste waren die Spongebob-Sequenzen und die Filmmusik ganz am Schluss. Die Story war mir zu plump, sollte wohl unterschwellig auch eine Kritik an der grassierenden Smartphone-Abhängigkeit sein, ich weiss es nicht.
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.
für mich waren es mühsame 93 Minuten.
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packend und unheimlich
COME PLAY ist unheimlich, spannend und unterhaltsam bis zum Schluss, gepaart mit glaubwürdigen und sympathischen Figuren sowie atmosphärischer Filmmusik des Spaniers Roque Baños.
Da die Thematik aber grundsätzlich sehr kitschig, unglaubwürdig und eigentlich völlig debil ist, verdient der Film für mich keine Bestnote, auch wenn das Ende nicht 0815 ist.
Ausserdem bleiben viele Fragen ungeklärt im Raum stehen.
Ich wurde aber sehr gut unterhalten und der Film hat damit sein Ziel für mich erfüllt.
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